Votre « humanité », M. Francken, n'est pas au même endroit que la nôtre…
Vous avez un petit air triste et désolé, Théo Francken, quand vous vous adressez à la presse. Du genre « Ben oui, il faut me comprendre, je fais mon boulot, je « nettoie » le parc Maximilien, je suis ferme, mais humain. »
Humain ? Vraiment ? Ce mot ne doit pas avoir la même signification pour vous et pour nous, M. Francken.
Êtes-vous humain quand vous ordonnez que soient confisqués et jetés aux ordures les sacs de couchage de ces migrants qui ne possèdent rien d'autre ?